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"Madame Gervaisais" est un roman écrit par Edmond de Goncourt, publié en 1869. Ce roman fait partie des ¿uvres littéraires de la période réaliste française.L'histoire se concentre sur le personnage de Madame Gervaisais, une femme française, veuve et d'une grande piété. Le roman explore sa relation avec son fils, Maurice, un jeune homme sceptique et critique envers la religion.Edmond de Goncourt, avec son frère Jules, était connu pour ses contributions au mouvement naturaliste et réaliste en littérature. "Madame Gervaisais" illustre bien cette esthétique littéraire en présentant des personnages réalistes et en explorant les tensions entre la foi et le scepticisme à travers les relations familiales.
"La Duchesse de Châteauroux et Ses S¿urs" est un essai écrit par Edmond de Goncourt, membre de la célèbre fraternité d'écrivains Goncourt. L'ouvrage se penche sur la vie de Marie Anne de Mailly-Nesle, duchesse de Châteauroux, et de ses trois s¿urs, qui ont toutes occupé des positions influentes à la cour de Louis XV en France.L'essai examine la période du règne de Louis XV et la manière dont ces s¿urs, grâce à leur beauté, leur intelligence et leurs charmes, ont pu exercer une grande influence sur la politique et la vie à la cour. Marie Anne de Mailly-Nesle en particulier est mise en avant en tant que favorite du roi. Elle a joué un rôle crucial dans la politique de l'époque et a eu une relation amoureuse avec le roi. Edmond de Goncourt explore également la vie personnelle de ces femmes, mettant en lumière les défis et les sacrifices qu'elles ont dû faire pour atteindre de telles positions de pouvoir et de privilège.L'essai offre une vision fascinante de l'histoire de la cour française au XVIIIe siècle et des intrigues politiques qui s'y sont déroulées. Il présente également une analyse approfondie de la psychologie et de la personnalité de ces femmes exceptionnelles qui ont marqué leur époque.
"D'impressions Célèbres" est un ouvrage d'Edmond de Goncourt, écrivain français du XIXe siècle. Cet ouvrage est un recueil de notes, de réflexions et d'observations personnelles sur des personnalités célèbres et des événements marquants de son époque.Dans "D'impressions Célèbres", Edmond de Goncourt partage ses impressions sur des artistes, des écrivains, des acteurs, des politiciens et d'autres personnalités publiques qu'il a rencontrés ou dont il a suivi le parcours. Il exprime ses pensées sur leur talent, leur personnalité et leur influence sur la société de son temps.L'ouvrage offre un aperçu fascinant de la vie culturelle et intellectuelle du XIXe siècle, tout en reflétant les préoccupations et les valeurs de l'époque. Edmond de Goncourt se livre à une observation minutieuse et à des analyses parfois subtiles des personnalités qu'il côtoie, mettant en évidence leur caractère, leurs forces et leurs faiblesses."D'impressions Célèbres" est un livre qui permet aux lecteurs de se plonger dans l'univers littéraire et artistique de l'époque, à travers le regard d'un écrivain renommé. Les observations de Goncourt sont marquées par sa sensibilité et son esprit critique, faisant de cet ouvrage une lecture enrichissante et captivante.Ce recueil d'impressions reflète également l'intérêt de l'auteur pour les détails de la vie quotidienne, offrant ainsi un témoignage précieux de la société française de son temps.En résumé, "D'impressions Célèbres" d'Edmond de Goncourt est un ouvrage qui permet aux lecteurs de découvrir les réflexions et les impressions d'un écrivain sur les personnalités et les événements marquants de son époque, offrant ainsi une plongée dans la vie culturelle du XIXe siècle.
Los éxitos de libros como L'Assommoir y Germinie Lacerteux, que agitan, mueven y acaloran a parte del público, no son, en mi entender, sino lúcidos encuentros de vanguardia; y la gran batalla que decidirá la victoria del realismo, del naturalismo, del estudio tomado del natural en letras, no ha de darse en el terreno elegido por los autores de las novelas susodichas. El día que un escritor de talento renueve la análisis cruel realizada por mi amigo Zola -quizás también por mí-, al pintar las clases ínfimas de la sociedad, y la aplique a la reproducción de hombres y mujeres de elevado rango que respiren ambientes de buena educación y distinción, ese día tan sólo podremos contar entre los difuntos al clasicismo y sus rezagos.Era ambición de mi hermano y mía escribir la novela realista de la elegancia. El Realismo (sirvámonos de la palabra trivial, la palabra- bandera) no tiene por exclusivo encargo describir lo bajo, repulsivo y mal oliente, no; que también ha venido al mundo para grabar en artísticos caracteres lo lindo y fragante, para fijar aspectos y rasgos de seres refinados y objetos ricos, pero mediante un estudio exacto y riguroso, no convencional y fantaseador de la belleza; estudio análogo al que de la fealdad realizó la nueva escuela durante estos años últimos.
Edmond de Goncourt, Jules de Goncourt: Tagebuch der Brüder Goncourt. Eindrücke und Gespräche bedeutender Franzosen aus der Kriegszeit 1870-71Lesefreundlicher Großdruck in 16-pt-SchriftGroßformat, 210 x 297 mmBerliner Ausgabe, 2023Durchgesehener Neusatz bearbeitet und eingerichtet von Theodor BorkenErstdruck dieser Zusammenstellung: München, Müller, 1917. Herausgegeben und mit einem Vorwort versehen von Alfred Wechsler unter dem Pseudonym A. W. Fred.Dieses Buch folgt in Rechtschreibung und Zeichensetzung obiger Textgrundlage.Umschlaggestaltung von Thomas Schultz-Overhage unter Verwendung des Bildes: Anton von Werner, Im Etappenquartier vor Paris (im requirierten Schloss »des Ombrages« Brunoy), 1894 nach einer Skizze vom Oktober 1870.Gesetzt aus der Minion Pro, 16 pt.Henricus - Edition Deutsche Klassik GmbH
Le Journal des Goncourt suscite également admiration (le « meilleur de l¿¿uvre » ou, selon Robert Ricatte, « le plus beau de leur roman ») et aversion (un ramassis de ragots et de malveillance, la preuve d¿un échec). Il convient d¿abord de s¿en étonner, au lieu de l¿accepter simplement comme un bien nécessaire ¿ éphémérides et répertoire à consulter en toute occasion ¿, ou de l¿intégrer naturellement dans l¿ensemble des écrits, en tant qüappendice, esquisse, complément ou substitut de l¿¿uvre légitime, bien que l¿une et l¿autre démarche soient parfaitement fondées, et du reste illustrées par de multiples travaux spécialisés, dont le présent colloque s¿est largement fait l¿écho. Les considérant comme acquis, je souhaiterais déplacer le point de vue et proposer une approche un peu nouvelle, me semble-t-il. L¿entreprise me paraît en effet offrir matière à un questionnement radical, si l¿on entre un moment dans la perspective de l¿organisation ¿ ou réorganisation ¿ du « champ littéraire » tout au long de la seconde moitié du XIXe siècle, et d¿une réflexion sur le statut de l¿écrivain « moderne », ou la figure emblématisée de l¿homme de lettres.Un dépouillement systématique du Journal, par les moyens informatiques, permettrait seul d¿établir, méthodiquement et chronologiquement, sur des bases lexicales, la nouvelle problématique de l¿écrivain fin de siècle qui s¿y dessine, en rupture avec les valeurs du premier romantisme (autour du « Poète »), entre artiste et intellectuel. Mais le Journal est moins une ¿uvre théorique qüune ¿uvre de combat, soumise aux variables conjoncturelles et consubstantiellement engagée dans la pratique de la littérature, dont il traite. Je me contenterai ici de dégager une perspective d¿étude, à travers une approche concrète des questions soulevées par ces milliers de pages, qui couvrent près d¿un demi-siècle de « la vie littéraire » (je reviendrai sur ce sous-titre). Le genre et la masse invitent au feuilletage plutôt qüà une lecture continue, pourtant indispensable si l¿on veut saisir les lignes de force de ces Mémoires et en comprendre à la fois les constantes et les infléchissements ¿ ceux d¿un texte en devenir, qui exécute un programme tout en enregistrant les variations du milieu où il opère, et en s¿y adaptant.
Le Journal des Goncourt suscite également admiration (le « meilleur de l¿¿uvre » ou, selon Robert Ricatte, « le plus beau de leur roman ») et aversion (un ramassis de ragots et de malveillance, la preuve d¿un échec). Il convient d¿abord de s¿en étonner, au lieu de l¿accepter simplement comme un bien nécessaire ¿ éphémérides et répertoire à consulter en toute occasion ¿, ou de l¿intégrer naturellement dans l¿ensemble des écrits, en tant qüappendice, esquisse, complément ou substitut de l¿¿uvre légitime, bien que l¿une et l¿autre démarche soient parfaitement fondées, et du reste illustrées par de multiples travaux spécialisés, dont le présent colloque s¿est largement fait l¿écho. Les considérant comme acquis, je souhaiterais déplacer le point de vue et proposer une approche un peu nouvelle, me semble-t-il. L¿entreprise me paraît en effet offrir matière à un questionnement radical, si l¿on entre un moment dans la perspective de l¿organisation ¿ ou réorganisation ¿ du « champ littéraire » tout au long de la seconde moitié du XIXe siècle, et d¿une réflexion sur le statut de l¿écrivain « moderne », ou la figure emblématisée de l¿homme de lettres.Un dépouillement systématique du Journal, par les moyens informatiques, permettrait seul d¿établir, méthodiquement et chronologiquement, sur des bases lexicales, la nouvelle problématique de l¿écrivain fin de siècle qui s¿y dessine, en rupture avec les valeurs du premier romantisme (autour du « Poète »), entre artiste et intellectuel. Mais le Journal est moins une ¿uvre théorique qüune ¿uvre de combat, soumise aux variables conjoncturelles et consubstantiellement engagée dans la pratique de la littérature, dont il traite. Je me contenterai ici de dégager une perspective d¿étude, à travers une approche concrète des questions soulevées par ces milliers de pages, qui couvrent près d¿un demi-siècle de « la vie littéraire » (je reviendrai sur ce sous-titre). Le genre et la masse invitent au feuilletage plutôt qüà une lecture continue, pourtant indispensable si l¿on veut saisir les lignes de force de ces Mémoires et en comprendre à la fois les constantes et les infléchissements ¿ ceux d¿un texte en devenir, qui exécute un programme tout en enregistrant les variations du milieu où il opère, et en s¿y adaptant.
Le Journal des Goncourt suscite également admiration (le « meilleur de l¿¿uvre » ou, selon Robert Ricatte, « le plus beau de leur roman ») et aversion (un ramassis de ragots et de malveillance, la preuve d¿un échec). Il convient d¿abord de s¿en étonner, au lieu de l¿accepter simplement comme un bien nécessaire ¿ éphémérides et répertoire à consulter en toute occasion ¿, ou de l¿intégrer naturellement dans l¿ensemble des écrits, en tant qüappendice, esquisse, complément ou substitut de l¿¿uvre légitime, bien que l¿une et l¿autre démarche soient parfaitement fondées, et du reste illustrées par de multiples travaux spécialisés, dont le présent colloque s¿est largement fait l¿écho. Les considérant comme acquis, je souhaiterais déplacer le point de vue et proposer une approche un peu nouvelle, me semble-t-il. L¿entreprise me paraît en effet offrir matière à un questionnement radical, si l¿on entre un moment dans la perspective de l¿organisation ¿ ou réorganisation ¿ du « champ littéraire » tout au long de la seconde moitié du XIXe siècle, et d¿une réflexion sur le statut de l¿écrivain « moderne », ou la figure emblématisée de l¿homme de lettres.Un dépouillement systématique du Journal, par les moyens informatiques, permettrait seul d¿établir, méthodiquement et chronologiquement, sur des bases lexicales, la nouvelle problématique de l¿écrivain fin de siècle qui s¿y dessine, en rupture avec les valeurs du premier romantisme (autour du « Poète »), entre artiste et intellectuel. Mais le Journal est moins une ¿uvre théorique qüune ¿uvre de combat, soumise aux variables conjoncturelles et consubstantiellement engagée dans la pratique de la littérature, dont il traite. Je me contenterai ici de dégager une perspective d¿étude, à travers une approche concrète des questions soulevées par ces milliers de pages, qui couvrent près d¿un demi-siècle de « la vie littéraire » (je reviendrai sur ce sous-titre). Le genre et la masse invitent au feuilletage plutôt qüà une lecture continue, pourtant indispensable si l¿on veut saisir les lignes de force de ces Mémoires et en comprendre à la fois les constantes et les infléchissements ¿ ceux d¿un texte en devenir, qui exécute un programme tout en enregistrant les variations du milieu où il opère, et en s¿y adaptant.
Le Journal des Goncourt suscite également admiration (le « meilleur de l¿¿uvre » ou, selon Robert Ricatte, « le plus beau de leur roman ») et aversion (un ramassis de ragots et de malveillance, la preuve d¿un échec). Il convient d¿abord de s¿en étonner, au lieu de l¿accepter simplement comme un bien nécessaire ¿ éphémérides et répertoire à consulter en toute occasion ¿, ou de l¿intégrer naturellement dans l¿ensemble des écrits, en tant qüappendice, esquisse, complément ou substitut de l¿¿uvre légitime, bien que l¿une et l¿autre démarche soient parfaitement fondées, et du reste illustrées par de multiples travaux spécialisés, dont le présent colloque s¿est largement fait l¿écho. Les considérant comme acquis, je souhaiterais déplacer le point de vue et proposer une approche un peu nouvelle, me semble-t-il. L¿entreprise me paraît en effet offrir matière à un questionnement radical, si l¿on entre un moment dans la perspective de l¿organisation ¿ ou réorganisation ¿ du « champ littéraire » tout au long de la seconde moitié du XIXe siècle, et d¿une réflexion sur le statut de l¿écrivain « moderne », ou la figure emblématisée de l¿homme de lettres.Un dépouillement systématique du Journal, par les moyens informatiques, permettrait seul d¿établir, méthodiquement et chronologiquement, sur des bases lexicales, la nouvelle problématique de l¿écrivain fin de siècle qui s¿y dessine, en rupture avec les valeurs du premier romantisme (autour du « Poète »), entre artiste et intellectuel. Mais le Journal est moins une ¿uvre théorique qüune ¿uvre de combat, soumise aux variables conjoncturelles et consubstantiellement engagée dans la pratique de la littérature, dont il traite. Je me contenterai ici de dégager une perspective d¿étude, à travers une approche concrète des questions soulevées par ces milliers de pages, qui couvrent près d¿un demi-siècle de « la vie littéraire » (je reviendrai sur ce sous-titre). Le genre et la masse invitent au feuilletage plutôt qüà une lecture continue, pourtant indispensable si l¿on veut saisir les lignes de force de ces Mémoires et en comprendre à la fois les constantes et les infléchissements ¿ ceux d¿un texte en devenir, qui exécute un programme tout en enregistrant les variations du milieu où il opère, et en s¿y adaptant.
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