Gjør som tusenvis av andre bokelskere
Abonner på vårt nyhetsbrev og få rabatter og inspirasjon til din neste leseopplevelse.
Ved å abonnere godtar du vår personvernerklæring.Du kan når som helst melde deg av våre nyhetsbrev.
L'ouvrage porte sur la « trajectivite », un terme emprunte a la mesologie d'Augustin Berque et qui se definit comme un mouvement d'aller-retour entre les « moments » de la reception et de la creation. Posant les rapports a la litterature sous l'angle phenomenologique, il ouvre une perspective nouvelle aux etudes litteraires et traductologiques.
Le processus de resilience ne se limite pas au traitement des cas de detresse individuels mais se revele pertinent dans l'analyse des textes litteraires. Boris Cyrulnik insiste toutefois sur la difference entre parole et ecriture.
Ce livre s'inspire des experiences personnelles d'un diplomate espagnol qui a travaille entre 1986 et 2013 a Bruxelles. De passage a la Commission Europeenne sous J. Delors, il fut, aupres de l'OTAN, temoin privilegie des evenements du 11 septembre 2001. Il fut egalement representant de la Catalogne aupres de l'Union europeenne.
Entre FLE et chinois langue etrangere, ce livre explore a travers un dispositif eTandem chinois-francais (Suisse) et son ingenierie pedagogique la co-construction des competences entre natifs et non-natifs et repere differents styles d'organisation et strategies de resolution des problemes prenant leur source dans des cultures differentes.
Ce livre propose un bilan comparatiste et interdisciplinaire des evolutions qui caracterisent les litteratures post-communistes de l'Europe centrale, balkanique et orientale. Il s'appuie sur le dialogue entre 14 etudes et 7 textes litteraires jusqu'alors inedits en francais.
Ce livre constitue une réflexion sur les défis que posent la diversité culturelle et le pluralisme à l¿enseignement de l¿histoire. Étant donné que le développement des sociétés pluralistes ou plurinationales tend à l¿émergence d¿un paradigme historiographique saisi diversement à partir des termes du cosmopolitisme, du postnationalisme, du transnationalisme, ou encore par la revendication d¿une histoire dite « consensuelle », « conviviale » ou « rassembleuse », comment articuler la reconnaissance du pluralisme des sociétés actuelles sans récuser les fondements mémoriels de cultures substantielles ? L¿accueil de la diversité culturelle au sein de la discipline historique se fait-il dans la perspective d¿une fondation plus cohérente d¿un vivre ensemble cosmopolite ou bien dans celle d¿une juxtaposition hétéroclite d¿individus issus d¿horizons différents ? L¿évincement préconisé de l¿État-nation comme principe narratif dominant de l¿historiographie, ou comme métaphore structurante, entraîne-t-il celui du politique ? Voici quelques-unes des questions fondamentales soulevées dans cet ouvrage.
Dans le Paris cosmopolite des années 1920 et 1930, les avant-gardes fleurissent et se fécondent mutuellement, grâce notamment à l'afflux d'émigrés du monde entier qui se sont expatriés pour des raisons politiques, idéologiques ou personnelles. Parmi eux, Carl Einstein (1885-1940), Allemand, et Benjamin Fondane (1898-1944), d'origine roumaine, tous deux Juifs et Parisiens de coeur, ont oeuvré en phase avec les courants d'avant-garde du début du siècle, travaillé au carrefour de l'esthétique, de la poésie, de la critique littéraire, de la philosophie et du cinéma. Ce volume, qui présente les actes du colloque tenu à Dijon en juin 2007, explore leurs interactions avec d'autres acteurs des avant-gardes - T. Tzara, C. Brancusi, W. Benjamin, I. Voronca, E. Jolas, R. Allendy, F. Werfel, etc. - tout en discutant leurs conceptions de l'art moderne et du primitivisme et en soulignant l'originalité de leur apport et l'héritage contemporain de leurs oeuvres frontalières.
Quels sont les facteurs qui expliquent qüun certain nombre de personnalités, d¿hommes d¿État de premier plan, aient pris le risque de s¿engager au lendemain du second conflit mondial dans un processus de construction d¿une Europe que la plus grande partie d¿entre eux voyaient unie ? Quelle alchimie complexe permet de comprendre l¿engagement en faveur de cette construction ? D¿où vient, chez ses premiers architectes, la « sensibilité » à l¿Europe ? Autant de questions auxquelles cet ouvrage collectif apporte des réponses en explorant des pistes de réflexions regroupées autour de trois thèmes : les héritages, les expériences et les engagements. Une vingtaine d¿historiens européens tentent ainsi de comprendre la gestation de l¿idée d¿Europe unie, d¿en approcher l¿expression et d¿en cerner les premières tentatives de réalisation au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. L¿idée européenne relève de ce fait de bien autre chose que de la seule histoire des idées politiques, et les années de formation des pères de l¿Europe nous invitent à réfléchir à son cheminement, à ses nombreux relais, aux tamis successifs, à l¿altération qüelle subit jusqüau moment où elle connaît un début de réalisation concrète.
Un peu partout dans le monde, notamment en Europe et en Amérique du Nord, la croissance dite « urbaine » se fait aujourd¿hui par « la banlieue » qui, en termes d¿espace vécu, doit se conjuguer au pluriel. Cet ouvrage s¿interroge donc, dans une perspective interdisciplinaire, sur ce que signifie concrètement la vie en banlieues. Les auteurs, européens et canadiens, ont choisi de croiser leurs regards et leurs approches pour dépasser des stéréotypes devenus par accoutumance des archétypes de la banlieue : un espace conformiste de la classe moyenne en Amérique du Nord versus un espace marginal et marginalisé en Europe ; un havre paisible pour la vie familiale versus un lieu de transgression pour les jeunes en rupture avec l¿éducation familiale. La réalité dépasse ces fictions urbaines : les travaux les plus récents montrent l¿existence de sortes de prototypes de l¿urbanité en banlieue. On pourrait presque parler de « banlieusité »¿
Abonner på vårt nyhetsbrev og få rabatter og inspirasjon til din neste leseopplevelse.
Ved å abonnere godtar du vår personvernerklæring.