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Bøker av Eugene Viollet-Le-Duc

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  • av Eugene Viollet-Le-Duc
    289,-

    Dès le VIe siècle de l'ère chrétienne, les Slaves occupaient une grande partie de l'Europe, depuis la mer Baltique jusqu'à la mer Noire. Les historiens byzantins les dépeignent comme des peuples différant essentiellement des Germains et des Sarmates Caucasiens. Déjà du temps de Justinien, s'étant alliés aux Ougres et aux Antes, ils attaquent l'empire qui finit par acheter leurs services. Vers la fin de ce siècle, les Avars entrant en scène et, en , leur puissance s'étendait du Volga à l'Elbe.Ces Avars étaient sous la conduite d'un Kan avec lequel la cour de Byzance fut obligée de traiter. Ils semblent avoir atteint un degré de civilisation assez avancé, car on trouve en Sibérie, au milieu de l'Altaï d'où ils étaient sortis, des tombeaux qui renferment quantité d'objets précieux.Pendant les dernières années du VIe siècle, les Avars soumettent les Antes et les Slaves du sud. Ceux de Bohême se révoltent bientôt et recouvrent leur indépendance. Au VIIe siècle, on trouve les Slaves établis dans la Thrace, dans la Moesie et la Bulgarie actuelle, dans le Péloponnèse, en Bithynie, en Phrygie, en Dardanie et même en Syrie.

  • av Eugene Viollet-Le-Duc
    228,-

    La Cité de Carcassonne est un ouvrage écrit par l'architecte français Eugène Emmanuel Viollet-le-Duc. Voici un résumé de son contenu :L'ouvrage "La Cité de Carcassonne" est une étude détaillée et une exploration de la célèbre cité médiévale de Carcassonne, située dans le sud de la France. L'auteur, Viollet-le-Duc, était un architecte renommé du XIXe siècle, connu pour sa passion pour la restauration des monuments médiévaux.Dans ce livre, Viollet-le-Duc se penche sur l'histoire de Carcassonne, en mettant l'accent sur son architecture remarquable, ses fortifications, et son rôle historique en tant que place forte médiévale. Il examine les caractéristiques architecturales de la cité, y compris ses remparts, ses tours, ses ponts-levis et ses portes. Il explique en détail comment ces éléments ont été conçus pour assurer la sécurité de la cité et résister aux attaques ennemies.L'auteur décrit également la vie quotidienne à l'intérieur de la cité médiévale, en mettant en évidence les maisons, les rues, les places et les activités qui animaient Carcassonne à l'époque médiévale. Il offre une perspective unique sur la façon dont les habitants vivaient et travaillaient au sein de cette ville fortifiée.L'une des contributions les plus importantes de l'ouvrage est le rôle de Viollet-le-Duc dans la restauration de Carcassonne. Il explique comment il a dirigé les travaux de restauration visant à préserver l'authenticité de la cité tout en la préservant pour les générations futures.En résumé, "La Cité de Carcassonne" est un livre qui célèbre et analyse l'un des trésors architecturaux de la France médiévale. Il offre un aperçu fascinant de la cité, de son histoire et de son importance culturelle, tout en mettant en lumière le travail de préservation réalisé par Viollet-le-Duc.

  • av Eugene Viollet-Le-Duc
    603,-

  • av Eugene Viollet-Le-Duc
    289,-

    " Il est des peuples auxquels on accorde tout, d'autres auxquels on refuse tout: dans notre vieux coin occidental de l'Europe, s'entend. Et quand on voit, en France, bon nombre de Français refuser à leur propre pays le privilège d'avoir créé et possédé un art original tenant à son génie, on ne peut trop être surpris si l'on dénie à d'autres nations ce même privilège. Cependant, l'objection principale opposée à l'existence d'un art russe re- posait et repose encore dans beaucoup d'esprits sur ce que l'empire russe est formé d'éléments extrêmement variés, disparates, et que ces éléments n'auraient pas été, par leur diversité même, dans les conditions favorables à l'éclosion d'un art original. Mais on pourrait en dire autant de la plupart des peuples qui ont cepen- dant su créer des arts reconnaissables à leur caractère et à leur style.Les Grecs étaient un composé de races assez diverses."

  • av Eugene Viollet-Le-Duc
    289,-

    " Il est une locution moderne qui me paraît fausse de tous points: les Arts décoratifs. Qüentend-on par là? Où commencent et où finissent les arts décoratifs? Les métopes du Parthénon, la voûte de la Sixtine appartiennent-elles à l¿art décoratif puisque ces ¿uvres sont incontestablement des ¿uvres d¿art et qüelles sont destinées à décorer des édifices, soit à l¿extérieur, soit à l¿intérieur? L¿¿uvre d¿art cesse-t-elle d¿être décorative quand elle est isolée et qüelle n¿est pas dépendante d¿un monument, comme est un tableau ou une statue dont la place n¿est pas désignée d¿avance et qüon peut mettre indifféremment dans un salon, une galerie, un boudoir?"

  • av Eugene Viollet-Le-Duc
    289,-

    " Pendant que, le mois dernier, nous poursuivions notre tâche dans les «Annales Archéologiques» et que nous ajoutions quelques pages à nosétudes sur les monuments religieux du XIIIème siècle, un orage s'amon- celait dans le sein de l'Académie des Beaux-Arts, prêt à fondre sur nos têtes aux premiers jours du printemps. S'il faut en croire un journal,pour lequel plusieurs membres de cette illustre assemblée daignent par- fois prendre la plume, «le Moniteur des Arts», les questions suivantes auraient été posées il y a quelque temps en séance solennelle par un ar- chitecteaca démicien:1° «Est-il convenable, à notre époque, de construire une église dans le style dit gothique, c'est-à-dire de copier ce qui, à l'époque du moyen âge, avait sa signification, et cela en raison des croyances et des nécessités de ces époques mêmes?»

  • av Eugene Viollet-Le-Duc
    756,-

  • av Eugene Viollet-Le-Duc
    289 - 383,-

  • av Eugene Viollet-Le-Duc
    621,-

  • av Eugene Viollet-Le-Duc
    989,-

  • av Eugene Viollet-Le-Duc
    410,-

  • av Eugene Viollet-Le-Duc
    826,-

  • - Histoire d'une maison illustree de soixante deux dessins par Viollet-le-Duc
    av Eugene Viollet-Le-Duc
    376,-

  • av Eugene Viollet-Le-Duc & Ferdinand de Guilhermy
    169,-

    «... Cette vaste église était alors dépourvue de chapelles, ou, s'il en existait, elles n'étaient qu'au nombre de trois, fort petites, et situées derrière l'abside; car on a retrouvé la corniche extérieure du double bas-côté sur presque tous les points de la circonférence de ce double bas-côté absidal : ces chapelles ne pouvaient donc être percées qu'au-dessous de cette corniche, et, par conséquent, n'occuper qu'une faible hauteur et un petit espace. On pourrait croire plutôt que trois autels étaient placés contre la paroi de ce double bas-côté ; l'un dédié à la Vierge, l'autre à saint Étienne, et le troisième à la Sainte-Trinité. Mais ce qu'on avait voulu surtout obtenir en traçant ce plan si simple, c'était un grand espace pour contenir le clergé et la foule, devant et autour de l'autel principal placé au centre du sanctuaire...».

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