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"The Lady with the Dog and Other Stories" is a collection of short stories written by Anton Chekhov, a Russian playwright, and author, and is the third volume of his works. The titular story, "The Lady with the Dog," is a poignant tale of an affair between a married man and a young woman while on vacation in Yalta. This story explores themes of love, morality, and the societal constraints placed upon relationships. The other stories in the collection also examine the complexities of human relationships, with a particular focus on the struggles of the Russian middle class. From the disillusionment of a husband with his marriage to the breakdown of a family business, this story of Chekhov provides insight into the struggles of everyday people. Chekhov is known for his masterful use of understatement and subtlety, and his writing has been highly influential in the development of the short story form. "The Lady with the Dog and Other Stories" is a must-read for those interested in exploring the human condition through the lens of Russian literature.
"The Bet and Other Stories" is a collection of short stories written by Anton Tchekhov, a renowned Russian writer. The stories in this collection are characterized by their vivid and realistic portrayals of human life, with themes ranging from love and loss to greed and deception. The titular story, "The Bet," centers around a bet made between a wealthy banker and a young lawyer. The banker bets the lawyer two million rubles that he cannot last five years in solitary confinement. The lawyer accepts the bet and the story explores the psychological toll that isolation takes on the young man and the moral dilemma faced by the banker as he considers whether to pay the bet or let the lawyer leave. Other stories in the collection include "Ward No. 6," in which a doctor in a provincial mental asylum becomes disillusioned with his profession and begins to sympathize with his patients, and "The Lady with the Dog," which explores the themes of love, infidelity, and the search for meaning in life. Tchekhov's writing style is characterized by his attention to detail and his ability to create fully realized characters that reflect the complexities of human experience. Overall, "The Bet and Other Stories" is a thought-provoking and engaging collection of short stories that offers a glimpse into the human condition.
Madame Ranievskaïa revient d'un long voyage passé à Paris où elle a dilapidé son argent. De retour à la Cerisaie, elle devrait vendre la propriété, mais les souvenirs de bonheurs passés, l'empêche de s'y résoudre... «La Cerisaie» est la dernière pièce de théâtre écrite par Tchekhov.
Tchékhov écrit à N. Leïkine le 4 novembre 1884: «Cette semaine je ne vous envoie pas quelques récits parce que j'ai été tout le temps malade et occupé: j'écris une petite bêtise pour la scène, quelque chose de tout à fait raté...» Cette sévérité est inspirée par la prudence autant que par la modestie: il avait l'habitude de déprécier ainsi, devant le rédacteur des , fort jaloux, toutes les oeuvres qu'il ne destinait pas à son journal... Sur la grandroute est une transposition pour la scène du récit qui a pour personnage central un barine déchu et alcoolique qui cède à un cabaretier un médaillon, portrait de l'épouse infidèle mais aimée.
Farce en un acte Une jeune femme, veuve depuis sept mois et inconsolable, est confrontée à un débiteur de son mari qui décide de ne pas sortir de chez elle avant d'avoir été payé. Il fait du désordre, boit de la vodka. Il ne veut pas partir, c'est «son dernier mot». Le ton monte. Elle lui reproche de ne pas savoir se conduire avec les femmes, d'être bête et grossier. Il reproche aux femmes leur logique impitoyable, leur âme de crocodile. En amour tout ce dont une femme est capable, c'est de pleurnicher. Seules les vieilles et les guenons sont fidèles. Elle se souvient des infidélités de son mari mais se dit résolue de porter le deuil jusqu'à sa mort. Il lui reproche de se mettre de la poudre. Ils décident de se battre en duel. «Je vais la descendre pour le principe», ditil. Il est fasciné par ce feu d'artifice de femme et la trouve étonnante. En lui expliquant le maniement du pistolet, il se laisse prendre à son charme. Il lui dit qu'il tirera en l'air. Elle lui reproche de se dégonfler. Il lui avoue qu'elle lui plaît. «Quelle femme, je suis fou amoureux.» Il lui propose ses 8000 roubles de rente tandis qu'elle veut l'amener sur le terrain. Ils s'embrassent.
Olga, Masha et Irina, trois jeunes soeurs cultivées, vivent avec leur frère dans une ville provinciale où elles s'ennuient. Après la mort de leur père, elles rêvent de retourner à Moscou, ville de leur enfance heureuse afin de fuir le traintrain assommant de la vie de province. Avec l'arrivée soudaine d'un régiment militaire, les soeurs reprennent goût à la vie. Ce ne sera que pour une courte durée: les militaires doivent bientôt quitter la ville, laissant les trois soeurs à leur solitude et leur destin.
Une demande en mariage est une pièce de théâtre d'Anton Tchekhov dont le sujet est l'impossibilité de se maîtriser. Le prétendant, la jeune fille et son père sont des querelleurs invétérés. L'intrigue est très simple : Lomov vient demander une jeune fille en mariage, Natalia Stepanovna. Il est reçu par le père, Stepan Stepanovitch, qui marque son enthousiasme, et va chercher sa fille.
Scène de moeurs en un acte. Une noce, la fête frénétique, les parents émus, les jeux imbéciles, les discours à péter de rire, les excès, les engueulades inopinées, les coups de spleen, les comportements débridés... La fable est drôle, féroce, impitoyable, elle fustige avec réjouissance la médiocrité, la mesquinerie et l'étroitesse d'esprit. Jouée avec jubilation, comme un grand éclat de rire, comme une danse étourdissante. Les personnages sont délirants, excessifs, avec des absences soudaines, des plongées mélancoliques, des états d'âme.
Fils d'une comédienne célèbre, Constantin Treplev, jeune écrivain, veut conquérir la gloire, et avec cette dernière, la main de Nina (la Mouette), sa voisine. Mais tout ne se passera pas comme il l'espère lors de sa première représentation théâtrale... L'art et le théâtre sont très présents dans cette pièce, chaque personnage y étant plus ou moins lié: Arkadina qui se croit toujours une grand'Actrice Treplev son fils qui rêve de révolutionner le théâtre Trigorine l'amant d'Arkadina, un écrivain connu Nina qui désire devenir actrice et est fascinée par le monde de l'art. Le second grand thème de cette pièce est l'Amour, avec ses illusions et ses désillusions.
Ivanov est envahi depuis peu par une certaine mélancolie. Sa femme très malade, sa propriété qui part à vaul'eau, sa gestion de l'argent, tout est remis en question. C'est le drame de cet antihéros confronté au temps dilaté par l'ennui, à l'impuissance, l'immobilisme et la paresse, un homme lâche enlisé dans l'existence. C'est aussi une satire aiguë et très drôle d'une société de petitsbourgeois en décrépitude, bête, méchante, hypocrite, antisémite et avide de ragots pour nourrir sa vacuité. Aristocrate, Ivanov a épousé une jeune fille issue d'une famille juive. Convertie à l'orthodoxie, Sara est devenue Anna Petrovna. Lorsque la pièce commence, Ivanov est marié depuis cinq ans. tuberculeuse, Anna est condamnée. Endetté, dépressif, se sentant incompris, Ivanov délaisse sa femme, passe ses soirées chez les Lebedev auprès de Sacha. Un soir, Anna est témoin d'un baiser échangé. Alors, le couple se déchire...
Voici la première pièce de Tchekhov, découverte 16 ans après sa mort. On y trouve déjà ses thèmes de prédilection, qu'il exploitera dans toutes ses pièces suivantes: les petits drames et la médiocrité de l'existence bourgeoise, le désoeuvrement, le désenchantement et la mort des idéaux. Une fête bat son plein chez la veuve Anna Petrovna, femme aux moeurs dissolues qui aime bien s'entourer et se donner l'illusion qu'elle plaît encore aux hommes. Y est réunie la société bourgeoise du village, aristocrates et intellectuels. Le vin coule à flot et l'état d'ivresse est général. Platonov, instituteur désabusé, jeune époux tricheur et séducteur renommé, papillonne d'une femme à l'autre, trahissant les uns, soulevant la colère des autres. Il est dans l'instant, sans réflexion sur les conséquences de ses actes. C'est un «intranquille» qui ne trouve pas comment vivre et pourquoi. Il ne veut faire de mal à personne mais ne sait dire non à rien et finit par faire souffrir tous ceux qui l'approchent. Bien vite, on veut la peau de ce triste Don Juan fin saoûl...
Le thème dominant de ce recueil est l'incompréhension entre les humains, au travers d'une peinture de la société russe avec ses idées toutes faites, ses préjugés, ses rigidités. «Une banale histoire»: Un professeur de médecine, reconnu et absorbé par son métier, analyse ses relations avec sa femme et ses enfants. Il n'y trouve pas de grandes satisfactions. Il se sent réduit à ses titres et à son grade qui le limitent à des relations d'Hiérarchie dans son métier ou à des apparences dans la vie sociale, sans lui donner les moyens de changer les choses... «Le voyageur de 1re classe» est un ingénieur qui se désole d'être moins reconnu que les vedettes de variété, les brigands.. Dans «La Linotte», un professeur de médecine plein d'avenir épouse une femme qui se plaît dans les milieux artistes. La lune de miel ne dure guère. Cette femme ne commencera à prendre conscience de l'importance de son mari que lorsque celuici meurt. «La Dame au petit chien» conte une aventure amoureuse entre un homme et une femme en villégiature à Yalta. Cela ne devrait être qu'une passade sans suite, mais quelque chose fait qu'il n'en est rien. C'est le contreexemple du thème principal, ici le courant passe, sans qu'on sache comment ni pourquoi. «Anne au cou»: un vieil homme riche épouse une jeune fille pauvre. C'est une description des rapports de force dans le couple. Naturellement, la force est au début du côté du mari qui contrôle l'argent. Bientôt le rapport s'inverse. Mais ceci n'altère en rien le vide des relations entre l'homme et la femme. «Un Désagrément» est la description d'un hôpital, avec son médecin qui manque de moyens et qui se heurte au personnel sous sa responsabilité. L'infirmier boit, la sagefemme est souvent absente, les règles élémentaires d'hygiènes ne sont pas respectées. Quand le médecin gifle l'infirmier, l'art du pouvoir est de noyer le poisson, de tout laisser en place et de ne rien régler. «On ne cache pas un aiguille dans un sac» est une petite histoire sur le thème de savoir qui trompe qui. Estce le policier qui, incognito, sur l'information d'une lettre anonyme, veut surprendre un trafic? Estce le conducteur de la troïka qui, ingénument, raconte que tout le monde est au courant que le policier arrive? «Une fois par an», c'est le jour de fête d'une vieille princesse. Les invités sont attendus, personne ne vient. Le domestique en est réduit à payer un neveu de la princesse pour que celuici daigne se déplacer. «Volodia» est un lycéen sans réussite dans ses études. Il ressent ses premiers émois amoureux pour une amie de sa mère. Celleci se débarrasse de lui comme d'un gamin et en plaisante avec la mère. Volodia trouve finalement un revolver et se suicide. Paris, Librairie Plon, 1923. Traduction Denis Roche.
«Les Moujiks», premier de ces onze récits donne le thème de l'ensemble: malade, Nicolaï, valet de chambre à Moscou, ne peut plus travailler et retourne au village avec sa femme et sa fille. Pleins d'effroi, ils «découvrent» la vie des paysans: la saleté, la bêtise et l'inculture, la boisson et les coups qui pleuvent sur les femmes et les enfants. Mais on bat aussi les enfants à Moscou, ainsi que le montre la bouleversante lettre de «Vânnka» à son grandpère. Comme toujours chez Tchekhov, le tragique côtoie le comique dans des scènes de la vie quotidienne. «Premiers soins» est exemplaire: on sauve un homme de la noyade mais on le secoue si fort... qu'il en meurt, c' est «dommage» mais cela n'empêchera pas d'aller «boire un coup». Les nobles, les riches tentent vainement d'aider ces paysans bornés («La Nouvelle Campagne»). Ils n'ont souvent aucune idée de leur misère («La Princesse», «Remords»). La fin du servage n'a telle apporté qu'une liberté illusoire? Tchekhov laisse le lecteur juger les transformations de la Russie. Paris, Librairie Plon, 1923. Traduction Denis Roche.
Paris, Librairie Plon, 1929. Traduction Denis Roche. Texte intégral. Cet ouvrage s¿inscrit dans un projet de sauvegarde et de valorisation de bibliothèques et fonds patrimoniaux anciens appartenant à la littérature des 19e et 20e siècles. Une collection de grands classiques, d¿écrits pour le théâtre, de poésie, mais aussi des livres d¿histoire, de philosophie ou d¿économie, des récits de voyage ou des livres pour la jeunesse à retrouver via les librairies en ligne ou à lire sur papier avec une mise en page étudiée pour optimiser le confort de lecture.
Paris, Librairie Plon, 1923. Traduction Denis Roche. Texte intégral. Cet ouvrage s¿inscrit dans un projet de sauvegarde et de valorisation de bibliothèques et fonds patrimoniaux anciens appartenant à la littérature des 19e et 20e siècles. Une collection de grands classiques, d¿écrits pour le théâtre, de poésie, mais aussi des livres d¿histoire, de philosophie ou d¿économie, des récits de voyage ou des livres pour la jeunesse à retrouver via les librairies en ligne ou à lire sur papier avec une mise en page étudiée pour optimiser le confort de lecture.
Publié en feuilleton entre 1884 et 1885, est l'unique roman policier de Tchekhov. Le narrateur, un juge d'instruction, retrouve après 2 ans d'absence un comte, compagnon de beuverie et d'orgies. Tous deux tombent amoureux d'une jeune fille à la robe écarlate. Le cri d'un perroquet «le mari a tué sa femme!» rythme le récit qui nous mène vers un double meurtre, une enquête et un procès. Mais le coupable estil celui qui sera condamné? L'honnêteté, l'amour véritable, la justice ne trouvent pas leur place dans un monde dominé par des hommes cyniques. Paris, Librairie Plon, 1936. Traduction Denis Roche.
Paris, Librairie Plon, 1925. Traduction Denis Roche. Texte intégral. Cet ouvrage s¿inscrit dans un projet de sauvegarde et de valorisation de bibliothèques et fonds patrimoniaux anciens appartenant à la littérature des 19e et 20e siècles. Une collection de grands classiques, d¿écrits pour le théâtre, de poésie, mais aussi des livres d¿histoire, de philosophie ou d¿économie, des récits de voyage ou des livres pour la jeunesse à retrouver via les librairies en ligne ou à lire sur papier avec une mise en page étudiée pour optimiser le confort de lecture.
Paris, Librairie Plon, 1929. Traduction Denis Roche. Texte intégral. Cet ouvrage s¿inscrit dans un projet de sauvegarde et de valorisation de bibliothèques et fonds patrimoniaux anciens appartenant à la littérature des 19e et 20e siècles. Une collection de grands classiques, d¿écrits pour le théâtre, de poésie, mais aussi des livres d¿histoire, de philosophie ou d¿économie, des récits de voyage ou des livres pour la jeunesse à retrouver via les librairies en ligne ou à lire sur papier avec une mise en page étudiée pour optimiser le confort de lecture.
Paris, Librairie Plon, 1928. Traduction Denis Roche. Texte intégral. Cet ouvrage s¿inscrit dans un projet de sauvegarde et de valorisation de bibliothèques et fonds patrimoniaux anciens appartenant à la littérature des 19e et 20e siècles. Une collection de grands classiques, d¿écrits pour le théâtre, de poésie, mais aussi des livres d¿histoire, de philosophie ou d¿économie, des récits de voyage ou des livres pour la jeunesse à retrouver via les librairies en ligne ou à lire sur papier avec une mise en page étudiée pour optimiser le confort de lecture.
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