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Bøker i Récits de voyages-serien

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  • av Charles Darwin
    358,-

    " L'¿uvre de Darwin comprend, outre ses travaux biologiques, trois ouvrages consacrés spécialement à la géologie. Ils ont paru sous le titre général de Géologie du Voyage du Beagle et forment comme une trilogie embrassant l¿étude. La mise en ¿uvre des observations et des matériaux géologiques amassés par Darwin pendant l¿Expédition du Beagle (décembre 1831 à octobre 1836) s¿étend sur une période de quatre ans, de 1842 à 1846. Son livre sur les îles volcaniques, commencé en été 1842, fut terminé en janvier 1844 ; six mois après, il mettait sur le métier ses observations sur la géologie de l¿Amérique du Sud, qüil achevait d¿écrire en avril 1845. Durant la période qui s¿étend de 1846 à 1854, il fit paraître une série des constructions coralliennes, des îles volcaniques et de la géologie de l¿Amérique méridionale. De ces publications, la seule qui ait été traduite en français est celle sur les îles coralliennes, étude magistrale où se sont révélées pour la première fois la grandeur de conception, la puissance et la pénétration de cet incomparable observateur. Je me suis proposé de compléter la traduction des ¿uvres géologiques de Darwin et je publie aujourd¿hui ses Observations sur les îles volcaniques, qui seront suivies par ses études sur la géologie de l¿Amérique du Sud. "

  • av Jeremiah Curtin
    358,-

    " In 1891 you, as Chairman of the Civil Service Commission, were in Washington. I had just returned to that city from a work of two years among Pacific Coast Indians. Of these, two tribes in California had asked me to intercede for them with the President, who in those days was Benjamin Harrison. These Indians were among the truly wretched and suffering. One tribe of them had been almost exterminated through a massacre inflicted by white men. The other reduced to a feeble remnant through various man-killing processes. Still they were worthy of earnest attention. Their myths have a beauty and a value which should preserve them till literature perishes. These two tribes were the Wintu and the Yana whose account of the world and its origin I published later on in ¿Creation Myths of Primitive America.¿

  • av Victor Considerant
    291,-

    " Ceci n¿est pas un livre et n¿est pas destiné au public, c¿est une simple communication confidentielle, ¿si l¿épithète peut s¿appliquer à un document imprimé,¿adressée à des amis.La fondation à laquelle ce Rapport conclut doit revêtir un caractère public et très général sans doute; m il importe à la conservation du principe dans lequel elle est conçue qüelle soit originairement nouée par des individualités déjà fraternellement unies, et représentant ce principe dans toute sa pureté intellectuelle et morale. L¿¿uvre ne doit donc entrer dans sa phase de grande publicité et appeler les concours extérieurs, que postérieurement à la formation d¿un noyau composé d¿éléments homogènes, sympathiques entre eux, en même temps que dévoués au but social, à l¿Idée principiante de la fondation.Telles sont les raisons qui circonscrivent, pour les premiers moments, le cadre de ceux à qui s¿adresse la Proposition contenue dans ce Mémoire. Elles ont autorisé l¿auteur à parler, dans quelques passages, un langage d¿École, qui pourrait n¿être pas toujours très-intelligible au public proprement dit, et ont motivé le sous-titre de Rapport à mes Amis, donné à son travail."

  • av Henri Ferrand
    291,-

    " Pour le voyageur parti le soir de Paris, le coup de théâtre se produit surtout en débouchant sur la baie d¿Agay. Sous la magie du soleil levant le tableau parfait que forment la mer bleue donnant de ses franges d¿écume l¿assaut aux rochers rouges, les pins sombres balançant leur ondoyant panache dans une lumière à la fois douce et vibrante, est une puissante révélation qui captive d¿emblée les facultés humaines. Tout au long de cette Corniche d¿Or si bien nommée, l¿acuité des sensations se maintient et se renouvelle. A la pointe d¿Antèore, au cap Roux, aux rochers du Trayas, l¿enthousiasme s¿excite de plus en plus, il arrive à son comble à la Pointe de l¿Esquillon, puis il s¿apaise doucement dans le site ravissant de Théoule, et l¿on a recueilli la quintessence du plaisir que distillent tous les points de la côte."

  • av Washington Irving
    761,-

    " Assister à de nouvelles scènes, observer des caractères et des m¿urs inconnus, eut toujours beaucoup d¿attrait pour moi. Je n¿étais encore qüun enfant que déjà je commençais à voyager, à faire de nombreuses excursions. J¿allais à la découverte des parties non visitées, des régions ignorées de ma ville natale, le tout à la fréquente alarme de mes parents et au profit du crieur public. En grandissant j¿étendis le cercle de mes observations. Mes après-midi de congé se passaient à vaguer autour des pays environnants. Je m¿en rendis familiers tous les endroits historiquement oufabuleusement célèbres. Je connaissais tous les lieux où s¿était commis un vol, un assassinat, où s¿était fait voir un fantôme. J¿explorai les villages voisins, et ajoutai beaucoup à la somme de mes connaissances en notant leurs m¿urs et leurs coutumes, en conversant avec leurs sages et leurs grands hommes. Une fois je poussai même, c¿était un long jour d¿été, jusqüà la pointe de la colline la plus éloignée, d¿où je laissai mes regards s¿étendre sur bien des milles de terre inconnue, et fus profondément étonné de voir quel vaste globe j¿habitais."

  • av Jules Verne
    291 - 426,-

  • av Maurice Paléologue
    291,-

    " Voici longtemps déjà que voyageurs et artistes déplorent, par tous pays, la disparition de la couleur locale, et l¿altération profonde que le développement des relations commerciales et l¿invasion des produits de l¿industrie moderne ont fait subir aux anciennes m¿urs, aux costumes, à l¿aspect des campagnes, à la physionomie intime des villes, à tout ce qui donnait autrefois aux voyages leur charme pittoresque. S¿il ne s¿agissait que de l¿Europe, si vieille, si activement fouillée en tous ses recoins, les esprits curieux de couleur locale en feraient aisément leur deuil :mais, dans tout le reste du monde comme à nos portes, la vie moderne a tout envahi, tout recouvert d¿un enduit uniforme sous lequel apparaissent, par places, les teintes anciennes à demi effacées. Il semble désormais impossible de rencontrer un pays où la civilisation européenne n¿ait déjà plus ou moins marqué son empreinte, où il soit permis de goûter sans mélange l¿illusion d¿être transporté loin de notre monde moderne où l¿on puisse retrouver intacts les traits caractéristiques d¿un peuple ou d¿une société, et vivre en plein XIXe siècle de la vie que menaient des générations mortes depuis longtemps."

  • av Anthony Trollope
    291,-

  • av Flora Tristan
    358,-

    " Flora Tristan était une militante socialiste et féministe, une figure majeure du combat social en faveur des femmes et des ouvriers. Fascinée par le spectacle de l'Angleterre de la première révolution industrielle, que résume la capitale britannique, Londres la "ville monstre", foyer du capitalisme et du paupérisme, elle en a donné dans ses Promenades dans Londres (1840, 1842) un tableau puissamment évocateur. Mais, en même temps, elle porte son regard sur le monde des marginaux et des exclus : délinquants, malades mentaux, prostituées. Ce livre est étonnamment moderne et proche en dépit du décalage chronologique."

  • av Théodore Aynard
    291,-

    Dans un de mes derniers voyages de Genève, une jeune dame assez jolie, autant qu'il m'en souvient, occupait avec moi le même compartiment d'un train express; le hasard seul avait fait notre rencontre, comme celle de la petite Sonia avec Tartarin sur les Alpes.Il me fut facile de reconnaître que ce n'était pas le moins du monde une nihiliste russe, mais tout spirituellement une parisienne pur sang, dont la société ne m'exposait pas à faire connaissance avec les gendarmes, comme cela m'était une autre fois arrivé; j'aurai peut-être l'occasion de vous le dire. En traversant le tunnel du Credo, elle s'étonnait que partie de Genève à onze heures du matin, elle ne pouvait arriver à Paris... le même jour, qu'à onze heures du soir.

  • av Frédéric Marcelin
    291 - 385,-

  • av George Staunton
    587,-

    Le "Voyage dans l'intérieur de la Chine et en Tartarie" de George Staunton est un récit de voyage qui offre un aperçu détaillé des expériences de l'auteur lors de son exploration de la Chine et de la Tartarie. Staunton, un diplomate et orientaliste britannique, relate ses observations sur la géographie, la culture, les coutumes et les institutions de ces régions au cours de son périple.L'¿uvre couvre divers aspects, notamment les rencontres avec les habitants locaux, les descriptions des paysages, les discussions sur l'histoire et la politique de la Chine et de la Tartarie, ainsi que les défis et les découvertes rencontrés par l'auteur au fil de son voyage.Staunton a également partagé des réflexions sur les relations entre la Chine et d'autres nations, ainsi que sur l'impact des changements sociaux et politiques dans ces régions."Voyage dans l'intérieur de la Chine et en Tartarie" offre une perspective riche et documentée sur ces terres asiatiques, servant à la fois de document de voyage et de source d'information sur la Chine et la Tartarie à l'époque de Staunton.

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