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Depuis son divorce, Ernie, avocat, multiplie les conquêtes. Cedimanche, il attend une jeune fille qüil pense avoir séduit. Maistout ne se passe pas comme il l¿avait initialement prévu. Lesimportuns se bousculent à sa porte. Il fera appel à l¿imaginationdébordante de Marie, sa bonne, pour le sortir de ce pétrin, nonsans y laisser quelques plumes.
Bonne année dans la cuisine, bonne année au boulot, bonne annéeà sa femme, bonne année à sa bonne (mais pas année celle-là),bonne-année-bonne-santé (la santé surtout), bonne année j¿enpasse et des meilleures (années, bien sûr)¿Entre cocasserie et vacheries, ce spectacle offre une brochette devoeux (meilleurs, ça va de soi) qui vous rappelleront sans doutequelque chose.
Une partie de poker qui tourne mal et sans le savoir Maxime, jeunepublicitaire, va voir sa vie complètement chamboulée : un voyagetant espéré annulé, une femme qui désire divorcer, une maîtressequi veut s¿installer, une concierge bien incrustée, une mère ressuscitée,un diplomate bègue bien décidé, une belle-mère bien frappée,des gros clients embourgeoisés¿ Bref, la journée s¿annonce êtreun vrai cauchemar¿
Jérôme est marié à Lola depuis vingt ans.Mais il ne supporte plus les tocs et les troubles hypocondriaquesde sa femme ! Ce soir c¿est décidé, il la quitte pour rejoindre samaîtresse.Toutefois, un incident imprévu va bouleverser ses plans¿Comment Jérôme va-t-il parvenir à gérer la situation et garder sonsang-froid entre les allées et venues d¿un collègue envahissant, etceux d¿une soeur acariâtre et de son époux insipide ?Et qui est vraiment Lola ?
Le jour de son anniversaire, Alain reçoit en cadeau une grosse caisseet à l¿intérieur de celle-ci, Alex, qui devra se mettre au serviced¿Alain et exaucer tous ses désirs pendant une semaine. En dehorsdu fait qüAlain n¿est pas du tout demandeur de ce genre de cadeauqüil trouve déplacé, Alex, le « cadeau », se montre d¿une maladressechronique en endommageant tout ce qüil touche. Il devient peuà peu le bouc émissaire sur qui se déchaînent toutes les rancoeursjusqüau moment où¿Situations burlesques, jeux de mots et personnages hauts en couleurponctuent cette comédie où la tendresse et l¿émotion finirontpar côtoyer le rire.
Un hall d¿immeuble comme on en trouve beaucoup dans les citésHLM, le contexte social tendu, surtout quand dans le hall d¿immeuble,squattent quelques trublions qui ne respectent rien : ilsboivent, fument des substances illicites, un poste stéréo braille àtue-tête¿ « Ah! ces jeunes ! On ne sait plus les tenir ! » Des jeunes,dites-vous ? Euh¿ les parasites en question ont plus de 65 ans¿
Alors qüAnatole et Louisette préparent la fête des voisins avecleurs amis, Hippolyte et Clotilde, les cousins de Neuilly, tombés enpanne pas loin de là, s¿apprêtent à débarquer. Dès le premiercontact, les préjugés des uns et des autres apparaissent, pourtant ilsuffira que Youki, le chien d¿Hippolyte et Clotilde, disparaisse pourque chacun révise son point de vue.
Clotilde veut prendre possession du manoir de sa tante. Tous sesefforts pour lui faire signer un document lui en donnant l¿usufruitétant voués à l¿échec, elle va tenter, aidée de trois amis déguisés enfantômes, de faire croire à sa tante et à son oncle que le manoir esthanté. Là encore, elle va se heurter à des difficultés imprévues. C¿estfinalement le vrai fantôme du manoir qui aura le dernier mot !
Le notaire l¿a bien précisé, les Boudin n¿auront l¿héritage de tanteAgathe qüà certaines conditions : être un couple uni et marierleurs enfants. Comment s¿en sortir alors que le père est un coureurde jupons qüune ancienne maîtresse vient faire chanter et queles enfants sont « incasables » ? Et puis, il y a la bonne, qui n¿apas sa langue dans sa poche et dont le petit ami a les oreilles quitraînent¿ Au fait, c¿est quoi le trésor de tante Agathe ?
Madame la maire a des soucis : la commune fait face à une sévère augmentation des tarifs d¿électricité. Fort heureusement, elle a la solution : la construction d¿une éolienne. Le moins qüon puisse dire, c¿est que sa décision ne fait pas l¿unanimité. Qüà cela ne tienne ! Elle se bat « pour le bien commun et pour la République ». Cependant, le journal local mène son enquête. Et si les intentions de la maire n¿étaient pas si honorables ?Une comédie menée tambour battant, pleine de suspense, de rebondissements¿ et d¿éclats de rire !
Ils travaillent tous dans la même société et se retrouvent pourparticiper à un stage de survie, fortement suggéré par leur patron,Monsieur Duchamel, et par Corinne la directrice des ressourceshumaines. Dès leur arrivée au campement, ils sont accueillis par lecoach, Kévin dit Kéké, coach frimeur et légèrement mythomane,chargé de leur inculquer les rudiments de la survie en milieuhostile.
David, un prêtre, refusera de célébrer le mariage financièrementindispensable de sa nièce s¿il apprend qüelle est enceinte. Maisavec une soeur, flambeuse et infidèle, un beau-frère à la sexualitédébridée et sa grosseur mal placée, un futur marié et le témoin dela mariée pas très nets eux aussi, David doit-il se faire le complicede tant de péchés ? Alors que lui-même¿
Avec son aisance habituelle pour varier les tons ¿ humour noir, absurde, satire, etc. ¿ l¿auteur nous propose 16 sketches et saynètes sur la médecine.Après une incursion dans un hôpital cauchemardesque où la lutte contre le déficit confine à l¿absurde, on croisera entre autres, une visiteuse fofolle faisant le clown pour dérider un grand blessé ; un « médecin fl ou » spécialisé dans les symptômes vagues ; un « rirologue » tentant de guérir un patient affligé d¿un rire idiot ; une maternité pour sketches où l¿équipe médicale aide aux forceps un auteur à accoucher d¿un texte qui ne veut pas venir ; autant de personnages surprenants et de scénarios décalés qui se succèdent pour notre plus grand plaisir.Jean Legeay soigne par le rire nos angoisses devant la maladie et la mort en composant avec fi nesse une comédie humaine de la médecine où défilent des personnages dont l¿apparente bouffonnerie cache, derrière le grossissement du trait, des caractères plus vrais que nature.
« Au vieux plumard », petit hôtel miteux, accueille le coupleLabranche, tombé en panne d¿essence. Ce qüils ne savent pas, c¿estque leur chambre est aussi occupée par le couple Delafeuille ! Quiplus est, Mme Delafeuille aurait quitté prématurément la société deM. Labranche, après avoir refusé ses avances¿
Bertrand Bertrand, agent immobilier, invite une maîtressepotentielle dans son studio. Mais il ignore qüil est déjà occupé parmalveillance par son inspectrice des impôts, la tante Antonine etun squatter qui se fait discret dans le placard. Lorsque tout ce mondese rencontre et, surtout, croise Mme Bertrand, le rêve d¿amour deson mari se transforme en cauchemar. Toutes ces dames et l¿imprévisiblesquatter vont-ils briser son ménage et causer sa ruine ?
Des enfants trentenaires, à la suite de déboires professionnels ousentimentaux, ont décidé de revenir au domicile familial. La cohabitationentre frère, soeur, copine du frère, parents et grand-mère,difficile dès le début, devient de plus en plus infernale.
Hubert Mornay, industriel du textile rouennais, a invité les deBelmont d¿Argeval à venir passer le week-end¿ et espère montset merveilles de cette visite !Pour que son plan réussisse, il a tout prévu.Tout prévu ?... Sauf que son épouse, Claire, incorrigible tête delinotte, a donné congé à la bonne pour le week-end ! Dans cesconditions, comment recevoir dignement les de Belmontd¿Argeval ?... Une seule solution : faire appel à une remplaçante.Une agence de personnel de services, aussitôt contactée, prometde dépêcher sur le champ la personne idéale, prénomméeClaude¿
Eve, est devenue, par ses qualités et son esprit de création, laresponsable d¿une usine de fabrication de costumes dedéguisements et de cotillons, dont Gilbert Carron est lepropriétaire.Il ne tarde à devenir très amoureux de sa collaboratrice, et toutsemble aller pour le mieux jusqüau jour où la police vientarrêter la jeune femme, et l¿accuse d¿avoir commis un meurtredont parlent tous les médias...
Entouré d¿une famille excentrique, le quotidien de Norbert relèvede l¿exploit. Écrivain farfelu, il n¿arrive pas à se concentrer pourécrire son dernier livre. L¿arrivée d¿une employée de maison vatransformer sa vie en cauchemar.
L¿arrivée d¿une lettre renfermant une bien fâcheuse nouvelle a dequoi déjà agacer sérieusement le Jeannot. En effet, une ligne TGVdoit traverser la propriété familiale tout juste à l¿emplacement desa grange ! Mais c¿est sans compter l¿appétit insatiable dont faitpreuve en ce moment la Bernadette, sa fille, qui, prise de fringalesà répétition, en arrive même à faire perdre la boule à sa femme, laGermaine¿
Après Ciel ma femme et Bisou Bisou, Pierre Sauvil nous propose deuxautres courtes pièces tout aussi désopilantes :Le Boa aux fraises :Un homme marié (abominablement infidèle) voit soudain ses nombreusesmaîtresses débarquer toutes ensemble dans son appartementet se présenter à son épouse.La Brouette russe :Un petit village tranquille se retrouve en grande turbulence à caused¿un coureur de jupons qui affirme que, s¿il drague régulièrementépouses et célibataires, son but est uniquement social : de la mêmefaçon que les Restos du Coeur aident les gens sur le plan nourriture,lui aide les femmes qui, sur le plan sentimental, sont en situationprécaire.
A Chicago, on ne connaît que trop Ma Grafton, la mère fracassantedes terribles frères Grafton. En liberté, c¿est une calamité ; enprison, c¿est un ouragan de truculence et de jovialité. Comme sescompagnons de cellule ne sont pas tristes non plus, pour l¿administrationdu pénitencier, c¿est carrément la galère !
Jamais Georgio Garousi, minable mafioso sicilien, n'aurait imaginéque Fiorella, sa fille adorée, puisse tomber amoureuse d'unhonnête homme. De son côté, jamais Mario Confino n'auraitimaginé troquer son héréditaire honnêteté contre des pratiquesillicites que sa bonne éducation réprouve en bloc. Et comme on nes'improvise pas mafieux, simplement au nom de l'amour,l'apprentissage du métier va être rude et les erreurs nombreuses...Certains vont l'apprendre à leurs dépens.Il est vrai que Mario n'était pas... mais alors pas du tout... destiné àce genre de travail...
Pour apaiser de vives tensions dans son équipe de cadres, le P.-D.GMaxime Dumont-Duval a programmé un séminaire dans un chaletd¿altitude en s¿assurant les services d¿un psy aussi renommé qüoriginal.Mais dès son arrivée au chalet, le P.-D.G est froidement assassiné.Tandis que rancoeurs, ambitions et autres jalousies se déversent àflots, le célèbre détective Sherlock Poirot (mais que fait-il donc déjàsur place ?) mène l¿enquête avec son aisance habituelle. Tout seraitréglé en deux actes et trois mouvements, si deux vieilles touristes,paysannes insupportables, ne venaient y ajouter leur grain de sel¿
Jacques veut vendre un château qui n'existe pas. Pour cela, il vaséduire la patronne de l'auberge afin que celle-ci l'aide car commepar hasard, tous ceux qui ont des raisons de lui en vouloir sontjustement à l'auberge : son épouse, ses deux ex-maîtresses, lespersonnes qu'il a escroquées et même le commissaire qui est à sarecherche. Bref, il y a tous les ingrédients d'une hilarante comédiepolicière en 2 actes et 5 coups de feu (comptez-les bien : c'estimportant).
Monsieur Bernadille, patron d'une entreprise de balais W.C. a biendes soucis entre ses employés, sa femme et sa fille.Que vient donc faire ce Japonais sans son entreprise ?Qüa-t-il à voir avec Odile la femme de ménage ?Pièce alerte, très amusante et facile à réaliser.
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