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Bøker i contes et légendes de nos régions-serien

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  • av James Bruyn Andrews
    291,-

  • av Adolphe Orain
    291,-

  • av Paul Arène
    291,-

  • av Léo Desaivre
    291,-

  • av Alfred Maury
    291,-

  • av Marie de France
    251,-

  • av Maurice Sand
    291,-

  • av Frederic Mistral
    291,-

  • av Frederic Mistral
    291,-

  • av Joseph Bédier
    331,-

    Tristan et Iseut est un mythe littéraire médiéval dont les poètes normands, auteurs des premières versions écrites conservées de cette légende, ont situé l'action en Cornouailles, en Irlande et en Bretagne.À l'origine, l'histoire est une tragédie centrée sur l'amour adultère entre le chevalier Tristan (ou Tristram) et la princesse Iseut (ou Iseult, Yseut, Yseult, Isolde, Ysolde). Elle précède la légende arthurienne de Lancelot du Lac et de Guenièvre, qui en est probablement inspirée, et a influencé durablement l'art occidental (peinture, littérature, etc.) depuis qu'elle est apparue au xiie siècle. Même si l'histoire a été adaptée et modernisée à plusieurs reprises, la relation et les conflits qui en découlent sont régulièrement repris.Marc envoie Tristan chercher Iseut la Blonde pour lui demander sa main. Mais sur le chemin du retour Tristan et Iseut boivent un philtre d'amour consacré au marié. Tristan et Iseut tombent donc éperdument amoureux mais Iseut doit se marier avec Marc. Un jour, Marc apprend que Tristan et Iseut sont amants et les condamne au bûcher. Mais par un miracle ils en réchappent. Un autre jour, Marc les découvre séparés par une épée et ils font la paix. Tristan accepte de restituer Iseut à Marc et de quitter le pays. Il se marie avec une autre Iseut. Iseut aux Blanches Mains est jalouse de l'amour que son mari porte à Iseut la Blonde. Lorsque Tristan, blessé à mort, appelle Iseut la Blonde à son secours, car elle est la seule capable de le guérir, il convient que le bateau reviendra avec une voile blanche si elle accepte de le secourir. Iseut arrive alors dans un vaisseau à la voile blanche, mais l¿épouse de Tristan, de colère et de jalousie, lui dit que la voile est noire. Se croyant abandonné par celle qüil aime, il se laisse mourir. Iseut la Blonde, apprenant la mort de Tristan, se laisse mourir dans ses bras.Charles Marie Joseph Bédier, né le 28 janvier 1864 à Paris 6e3 et mort le 29 août 1938 au Grand-Serre dans la Drôme, est un philologue romaniste français, spécialiste de la littérature médiévale.Sa famille est d¿origine bretonne mais s¿est installée dès 1744 à l¿île de la Réunion. Bien que né à Paris, il retourne passer son enfance à La Réunion après le décès de son père alors qüil n¿est âgé que de quatre ans. Il devient professeur de littérature française du Moyen Âge. Il publie de nombreux textes médiévaux en français moderne, tels que les Fabliaux (1893), Tristan et Iseut (1900), La Chanson de Roland (1921). Il est élu membre de l'Académie française en 1920.

  • av Henri Burgaud Des Marets
    243,-

    Vous trouverez, dans ce dictionnaire, non seulement un glossaire du patois rochelais, mais également une liste de termes usités et de locutions vicieuses ou expressions naturelles.ean-Henri Burgaud des Marets, né le 2 novembre 1806 à Jarnac (Charente) et mort le 6 octobre 1873 à Paris, est un linguiste et auteur d'expression saintongeaise. Il a abordé avec talent et succès différents genres littéraires, mais ce sont surtout ses études sur les dialectes et patois qui lui ont valu sa notoriété.

  • av Olivier De Gourcuff
    291,-

    " Il n¿y a pas eu de grand poète, en Bretagne, depuis les bardes inconnus dont M. de la Villemarqué s¿est fait l¿interprète habile et ému, jusqüà Auguste Brizeux, l¿initiateur et le modèlede la poésie intime et locale, l¿émule de William Cowper et du G¿the d¿Hermann et Dorothée. Mais, à défaut des poètes qui tracent un sillon enflammé ou laissent traîner une douce lueur d¿étoiles, la Bretagne a vu naître et se consacrer à la Muse, des dernières années du XVe siècle aux premières du XIXe, bien des talents ingénieux et aimables, que les caprices de la mode et l¿éloignement de la capitale ont fait méconnaître ou oublier."

  • av Rudyard Kipling
    291,-

    " Il s¿appelait Charlie Mears ; fils unique de sa mère, laquelle était veuve, il habitait le nord de Londres, d¿où il venait chaque jour à la Cité travailler dans unebanque. Il avait vingt ans et débordait d¿aspirations. Je le rencontrai dans un « billiard saloon »[1] où le marqueur l¿appelait par son petit nom, tandis qüil appelait le marqueur « Bull¿s eye ». Charlie m¿expliqua, un peu nerveusement, qüil n¿était venu là que pour regarder ; et, comme ce n¿est point un amusement bon marché pour lesjeunes gens que de regarder les jeux d¿adresse, je suggérai que Charlie ferait mieux de retourner chez sa mère."

  • av Claudius Ferrand
    291,-

    " Il y avait autrefois, au pays de Tango, une bourgade du nom de Mizu- noé. Dans cette bourgade vivait un pêcheur, qui s'appelait Ourashima Taro. C'était un homme vertueux, au c¿ur sensible et bon qui, de sa vie, n'avaitja maisfaitnisou haitédemalàper sonne.Taro revenait un soir de la pêche. La prise ayant été abondante, il ren- trait satisfait et joyeux. Sur le rivage, il aperçoit une bande de petits gar- çons, qui semblaient prendre un malin plaisir à tourmenter une petite tortue,trou véesurlesable .Taro n'aimait pas qu'on fît souffrir les bêtes. Il eut pitié de la tortue. S'approchant des enfants, et s'efforçant de donner à sa voix un ton im- périeux:¿ Quel mal vous a donc fait, dit-il, cette innocente créature, pour la tourmenter de la sorte? Ignorez-vous que les dieux punissent les enfants qui maltraitent les animaux?"

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